mercredi 08 juillet 09
Lutte contre la mort par l'Ave Maria (III)
Nous étions quatre autour de l'enfant moribonde. Le docteur comptait
les battements imperceptibles du pouls qui baissait. Tout à coup, on
eut l'impression d'un souffle, d'une présence vivifiante : rien
d'extérieur, mais la certitude d'une intervention surnaturelle. Je
criai à mon mari : "Si tu crois en quelque chose, dis seulement "Je
vous salue, Marie", car tout semblait fini. Le père joignit les mains
sans rien dire.
Mais, soudain, la petite reprit conscience et forme humaine; les
membres crispés se détendirent, se remettant d'eux-mêmes en place. Les
yeux révulsés s'ouvrirent pleins de vie et le docteur, ne quittant pas
le petit pouls, s'écria : "Miracle ! Miracle ! Elle repart ! La vie
reprend !". J'étais allée chercher chez la voisine, des le début des
convulsions, une statuette de la Vierge miraculeuse que j'avais placée
sous la nuque de la petite. La crise était passée. L'enfant arrachée à
la mort était en voie de guérison. Et depuis cet événement, une statue
de Notre-Dame est dans notre salle de séjour.
J'ai quittée la secte erronée et, peu à peu, j'ai retrouvé le chemin de
l'Église catholique et de la vraie foi dans laquelle j'élève mes
enfants. J'expérimente le bienfait du chapelet, surtout depuis que je
connais les mystères du Rosaire. Je voudrais crier à tous la puissance
de la Mère de Dieu et de l'Ave Maria sur son Coeur maternel qui a été
si douloureux. Il est si puissant pour secourir nos détresses !
Une mère reconnaissante.
L'Appel du Coeur Douloureux et Immaculé,n°60
Cité dans le Recueil Marial N° 11, 1979
Je
vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous
êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos
entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous
pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.