lundi 14 janvier 2008
La Vierge protège Paris (II)
Deux officiers allemands, prisonniers et blessés témoignèrent comme un prêtre mort le 3 janvier 1915 :
« Si j'étais sur le front, je serais fusillé, car défense a été faite
de raconter, sous peine de mort ce que je vais vous dire : vous avez
été étonnés de notre recul si subit quand nous sommes arrivés aux
portes de Paris. Nous n'avons pas pu aller plus loin, une Vierge se
tenait devant nous, les bras étendus, nous poussant chaque fois que
nous avions l'ordre d'avancer. Pendant plusieurs jours nous ne savions
pas si c'était une de vos saintes nationales, Geneviève ou Jeanne
d'Arc. Après, nous avons compris que c'était la Sainte Vierge qui nous
clouait sur place. Le 8 septembre, Elle nous repoussa avec tant de
force, que tous, comme un seul homme, nous nous sommes enfuis. Ce que
je vous dis, vous l'entendrez sans doute redire plus tard, car nous
sommes peut-être 100.000 hommes qui l'avons vu. »
Extraits du "Courrier de la Manche", du dimanche 14 janvier 1917
A propos du retournement de la bataille de la Marne (5-8 septembre 1914)
Je
vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous
êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos
entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous
pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.