samedi 05 février 2011
C’est pourtant d’Elle que je veux parler …
La plus infinie louange à l’Immaculée exigerait pour être dignememnt
exprimée un cœur plus limpide que le mien, une plume plus habile et
expérimentée que la mienne. Et c’est pourtant d’Elle que je veux parler,
quand bien même mes faibles balbutiements seront indignes d’Elle. Mais
certaine néanmoins qu’Elle les agréera et les accueillera dans son cœur
de maman, parce que vous êtes toute bonne, ô Marie, et parce que je vous
aime et que vous êtes ma Mère.
Arrière donc les grands mots, les belles phrases, les livres savants !
Moi, toute seule dans mon cœur d’enfant, je veux me receuillir pour
contempler, non une image, mais la plus vivante et la plus splendide
réalité qui, descendue du Ciel, s’est accomplie dans le cadre
mystérieusement grand et pauvre de la Palestine. Cette réalité, c’est
toute la genèse extérieure de l’Esprit Saint.
Marthe Robin
« Prends ma vie, Seigneur » du P. Peyret, p. 109
Je
vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous
êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles,
est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs,
maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.