samedi 05 avril 2008
Le Linceul de Turin défie la science (II)
L'image imprimée en négatif (cas unique et notion inconnue dans le
monde avant le XIX° siècle) a été produite par une déshydratation des
fibres superficielle (les fils de la toile comprennent 10 à 12 fibres),
sans aucune trace d'intervention humaine (aucune trace de peinture ni
de colorant), et la densité des fibrilles colorées (qui sont, dans un
même périmètre, certaines entièrement colorées et d'autres
partiellement ou absolument non colorées !) est fonction de la distance
du corps qui aurait été placé en apesanteur à quelques centimètres du
linge. L'image n'existe pas sous les traces de sang et a donc été
formée après elles.
La forme du corps correspond de plus à une projection orthogonale sur
une toile parfaitement plane (phénomène incompréhensible qui exclue
définitivement l'hypothèse d'une cause naturelle venant d'un contact du
linge avec le corps, car l'image aurait été déformée). Et l'impression
du linge a été produite par un rayonnement inconnu, sans brûlure.
Toutes ces caractéristiques rendent l'image impossible à reproduire
aujourd'hui, même avec les techniques les plus modernes. Ni peinture
(aucun pigment), ni empreinte (aucune déformation), c'est la seule
image connue qui possède de telles propriétés (négative, plane,
isotrope, tridimensionnelle). Si l'image vient d'un faussaire, le
procédé inconnu qui l'a formée n'a été utilisé qu'une seule fois et il
a créé des propriétés incompréhensibles pour le faussaire lui-même,
pour ses contemporains et également pour les générations actuelles !
L'étude des pigments montre par ailleurs que les tâches brunâtres sont
bien du sang humain, de type AB, mêlé à d'autres auréoles de sérum
visibles seulement aux ultraviolets, qui proviennent de plaies réelles
: il est donc certain que le linge a été en contact avec un corps réel.
Ce corps flagellé, crucifié, couronné d'épines, frappé au visage,
meurtri aux épaules, et ce coeur transpercé ouvert sur une plaie béante
(non refermée, donc après la mort), en correspondance parfaite avec le
récit des Evangiles. Toutes les représentations antérieures au XX°
siècle montrent des clous dans les mains, alors que pour le Linceul,
l'enclouage est dans le poignet, ce qui est scientifiquement juste. Et
en hébreu, le mot « main » (Yad) inclut le poignet.
D'après un article de Fernand Lemoine
résumant plusieurs spécialistes
http://www.ebior.org/Encyc/Resurrection/linceul.htm
Je
vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous
êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos
entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous
pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.