mardi 10 février 2009
C'est pourtant d'Elle que je veux parler ?
La plus infinie louange à l'Immaculée exigerait pour être dignement
exprimée un coeur plus limpide que le mien, une plume plus habile et
expérimentée que la mienne. Et c'est pourtant d'Elle que je veux
parler, quand bien même mes faibles balbutiements seront indignes
d'Elle. Mais certaine néanmoins qu'Elle les agréera et les accueillera
dans son coeur de maman, parce que vous êtes toute bonne, ô Marie, et
parce que je vous aime et que vous êtes ma Mère. Arrière donc les
grands mots, les belles phrases, les livres savants ! Moi, toute seule
dans mon coeur d'enfant, je veux me recueillir pour contempler, non une
image, mais la plus vivante et la plus splendide réalité qui, descendue
du Ciel, s'est accomplie dans le cadre mystérieusement grand et pauvre
de la Palestine. Cette réalité, c'est toute la genèse extérieure de
l'Esprit Saint.
Marthe Robin « Prends ma vie, Seigneur » du P. Peyret, p. 109
Je
vous salue, Marie pleine de grâces ; le Seigneur est avec vous. Vous
êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos
entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous
pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.